Les traités de philosophie de Jean Paul Startre

mars 23rd, 2020 no comment

Philosophe français et principal porte-parole de la motion existentialiste dans l’article-guerre France. L’œuvre la plus essentielle de Sartre, Being and Nothingness, doit beaucoup à ceux qui ont été éliminés avant lui, principalement Kierkegaard et Heidegger. Néanmoins, la philosophie de Sartre a une clarté et une force qui ont pris la mentalité de ses instances d’une manière beaucoup plus puissante que celle de ses prédécesseurs ou de ses contemporains existentialistes, comme Camus, Merleau-Ponty et de Beauvoir. Le style principal de toutes les philosophies existentialistes sera de déclarer que «l’existence précède l’essence». À partir de cela, Sartre prévoit de communiquer la scène selon laquelle l’homme est initialement disponible sans but ni description, se découvre dans le monde et, à ce moment-là, en réaction à l’expérience pratique, identifie le sens de son existence. C’est le revers de votre débat introduit par Aristote dans ses valeurs, cette personne est produite pour remplir un but ou un objectif, et cette réalisation du style de vie se compose en essayant d’atteindre ce but. À titre de comparaison, Sartre fait valoir qu’étant donné qu’il n’y a pas de Seigneur ou de signataire pour fournir un but à un homme, cela dépend de la personne qui trouve l’existence de le croire le mieux. Néanmoins, le subtil débat de Sartre ne compte pas sur son athéisme pour démontrer le principe existentiel. Car même une perception dans Le seigneur est, selon Sartre, un choix privé – c’est vraiment une vie et un objectif choisis. La perception au sein d’une divinité ne sera jamais exercée sur une personne. Même quand un particulier avait été d’obtenir les visions remarquables d’Abraham, c’est encore approximativement l’individu pour traduire ces visions: le discours des hallucinations divines ou lunatiques? Seul le personnel, et non le Seigneur, peut faire cette présentation. Certes, c’est vraiment un principe plus large du point de vue de Sartre que le gars est rarement contraint; il ou elle est confronté à une décision à chaque transformation. Même lorsqu’un gars est emprisonné ou même une arme gardée à l’esprit, fait valoir Sartre, c’est en fait son choix de se conformer ou de défier – les effets tendent à ne pas exempter quelqu’un de créer cette option. Cette flexibilité majeure, reconnaît Sartre, a des implications importantes. Nous sommes responsables de tout ce qui se passe. Un célibataire ne peut pas, dans l’existentialisme sartrien, faire des raisons ou reporter l’obligation à un devenir divin ou à une mère nature individuelle: le faire constituerait une tromperie personnelle ou une «mauvaise foi». Cela peut entraîner quelques fardeaux connexes pour l’individu. Pour commencer, l’angoisse résultant de la connaissance du poids corporel de l’obligation que nous maintenons tous. Tout ce que nous faisons affecte non seulement nous-mêmes, mais par nos choix et nos mesures, nous avons établi des exemples pour le reste de l’humanité. Lorsque nous faisons un choix, ce n’est vraiment pas seulement un désir privé, mais une déclaration à travers le monde que c’est ainsi que l’existence doit être dirigée. Le fardeau suivant est «l’abandon». L’existentialiste trouve «extrêmement embarrassant» que le Seigneur n’existe pas. Car cela vient après que nous soyons ainsi maintenus seuls sans soutien ni conseils en matière morale. Pratiquement, nous devons le laisser monter au fur et à mesure. Troisièmement, il existe un «désespoir». Par cela, Sartre implique que nous devons agir sans le vouloir, renoncer à l’impulsion d’avoir confiance en ce que les problèmes sortiront pour trouver le meilleur. Il n’y a absolument aucune providence. Les conséquences de l’existentialisme de Sartre sont clairement lourdes mais inévitables. Nous avons été « condamnés à se libérer ». Mais cela ne devrait pas déclencher toutes sortes de pessimisme, car ses détracteurs accusaient généralement son point de vue d’engendrer. L’existentialisme montre «une sévérité d’optimisme», nous dit Sartre. Son concept optimiste est que «le destin de l’homme est positionné à l’intérieur de lui-même».

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